Mes confidences sur une de mes expériences en selfbondage.

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 4 ans

Quand j’étais a d o, je ne savais pas ce que le BDSM et le bondage étaient vraiment, mais j’avais comme un sentiment de bien être quand je le faisais avec les bas de ma mère enroulés autour de mes poignets. Ma première réelle et grosse expérience a été un désastre complet.

C’était les vacances d’été et enfin j'avais la maison pour moi ! Je comptais profiter de la journée avec une longue sieste et de rencontrer mes amis pour regarder des films. Couchée pour faire une sieste, j'étais trop agitée pour dormir et le climatiseur ne fonctionnait pas à nouveau. J’ai eu envie de reprendre le livre policier que j’avais commencé.

A travers les pages que je suis tombée sur le passage d’une fille attachée avec des cordes. Cela me fait penser à être liée sans défense avec quelqu'un ayant le contrôle sur moi. Le sentiment familier chaud est revenu de quand j'aimais jouer avec les bas de ma mère.

J'ai décidé de me lier moi-même ce jour-là. Je ne savais pas avec quoi me lier ni réellement de plans dans ma tête. D'abord, j’avais besoin corde, il y avait celles du camping familial, de belles cordes de coton doux que nous avions utilisées pour attacher la cargaison sur le toit de la camionnette de la famille. Je les pris et retournais dans ma chambre à l'étage. Heureusement, mon frère l'officier de formation a un ensemble de menottes avec double serrures, (Oui, je sais où elles sont et comment elles fonctionnent, il s’étais exercé sur moi) je les pris au-dessus de sa commode pour les mettre dans la poche de mon short en jean serré sans oublier les clés.

Une dernière chose que j'ai prise, c’est un petit morceau de tuyau en PVC d'environ 20 centimètres de long et d’un petit diamètre, ce qui en ferait un bâillon. Je me suis dit qu'avec ces fournitures je pouvais m’amuser.

Je pris un verre de glace qui ferait une minuterie pour faire tomber les clés.

Avant de commencer quoi que ce soit, je me suis assurée que toutes les portes étaient verrouillées. Je ne voulais pas que quelqu'un vienne pendant que je m’amusais. Je jetais des glaçons dans un de mes vieux bas et fit glisser la clé de menottes. J’ai retiré le tableau qui était accroché au mur, pour passer une des fines cordes dans l’anneau. Quand les glaçons auraient fondu, je pourrai tirer le bas contenant les clés.

Je me suis déshabillée complètement pour m’attacher. Mes tétons pointaient déjà d’excitation. Après j’ai enroulé la corde à ma taille avant de la faire passer entre mes jambes plusieurs fois de devant à derrière. Son contact sur mon clitoris m’électrisait les sens et faisait comme un string bien agréable entre mes fesses. Ensuite J’ai enroulé une corde autour de mon buste au dessus et au dessous de mes seins. Une autre corde passée derrière ma nuque m’a servie à resserrer les cordes devant pour emprisonner et remonter mes seins. Comme il en restait trop de cette corde, je l’ai attachée à mon string de corde en faisant plusieurs tours entre le string et ma nuque. Le dernier nœud étant derrière ma nuque, mes mains menottées dans le dos ne pourraient pas le défaire.

Pour mes chevilles, j’ai plein de tour de corde avec des nœuds avant de l’attacher à la corde de mes seins. Cette position m’obligeait à rester assise avec les jambes pliées. J’ai mis mon bâillon de fortune et galéré avec la corde en trop. Ne sachant qu’en faire, je m’en suis servie pour lier mes cuisses. J’ai passé les menottes dans la corde de mon string et clic, clic, sur mes poignets.

Je me suis laissée tomber sur le côté avant de commencer à me débattre. J’étais bel et bien prisonnière comme l’héroïne de mon livre.

Dans ma tête, des hommes m’avaient enlevée et attachée. De temps en temps ils venaient me voir et ces salops en profitaient pour me tripoter les seins. J’adore la sensation des mains sur mes seins et qu’on me pince un peu les tétons.

Je me suis endormie attaché à même le sol. La sonnette m’a réveillée ainsi que les cris de mon ami Fred. Nous avions rendez-vous à 16 heures pour aller faire un match de volley. Et zut !!!!!

Quand j’ai regardé le pieds du mur où je pensais trouver les clés des menottes, elles n’y étaient pas. Elles étaient restées accrochées à l’anneau. J’ai alors essayé de tirer sur la cordelette accrochée au bas en espérant que les clés passeraient rapidement par le trou. Rien à faire ! Agiter la corde ne faisait pas tomber le bas comme prévu ! ! !

Je me suis débattue pour rien, les cordes résistaient. A part me faire mal, cela ne faisait rien. Fred est reparti, il devait être furieux surtout que l’idée du match de volley était de moi. Résignée et surtout désespérée, je ne pouvais qu’attendre que mes parents rentrent. En plus de la honte qui m’attendait, j’allais me faire incendier c’était sûr et certain. Que pouvais-je leur dire ? Que quelqu’un m’avait fait ça ? Ils m’auraient emmenée à la police pour raconter mon histoire et porter plainte.

Un long moment plus tard, j’ai entendu la porte claquer. N’entendant pas la voix de ma mère, j’ai compris que c’était mon frère. A part lui et moi, personne n’a les clés de la maison. Malgré ma honte, je me suis mise à espérer qu’il monte dans sa chambre et m’aperçoive. Pour attirer son attention, je mettais de coups de pieds dans le lit et sur le sol. de la façon dont j’étais attachée, mes mouvements étaient très limités.

Quand il est monté pour aller à sa chambre, il m’a aperçue. Son premier réflexe a été de jeter son sac et d’entrer dans ma chambre en position de combat. Il s’est ensuite jeté sur moi pour commencer à me délivrer. Après m’avoir retiré le bâillon, il m’a regardée avec un air perplexe.

« Qui t’a fait ça » ? m’a demandée mon frère avec des yeux de tueur.

Je lui ai demandé si j’étais obligée de répondre. Ma réponse l’a surpris. Il m’a alors demandée où étaient les clés de ses menottes. Quand je lui ai répondu quelles étaient accrochées au mur, il a aussitôt compris et m’a demandée si je m’étais fait ça toute seule. Je n’ai pas pu répondre, je n’ai fait que « oui » de la tête.

« Ah tu joues à ça toi » ! M’a dit mon frère étonné. Toujours aussi perplexe, il s’est relevé et réfléchissait silencieusement. Quand il est sorti de ma chambre je l’ai appelé et lui demandant de ne pas me laisser comme ça. Il m’a criée qu’il revenait. Et il est effectivement revenu pour me punir.

Quand il m’a poussée sur le dos en attrapant un de mes seins, je ne comprenais pas ce qu’il voulait faire. Cet enfoiré était allé chercher des pinces à linge. Il me les à posées sur les tétons malgré mes cris en me disant que je n’avais pas à aller fouiller dans sa chambre ni à prendre ses menottes. A la suite de quoi, il a décroché les clés du mur, les a jetées par terre à l’entrée de ma chambre en me disant de me débrouiller seule pour la suite. Je l’ai supplié de me retirer les menottes en lui criant que j’avais une horrible envie de faire pipi. Je n’ai pas été écoutée. Il a pris ce qu’il avait à prendre dans sa chambre puis a quitté la maison.

J’ai fini par parvenir à me libérer avant de me laisser aller sur la moquette. Un quart d’heure plus tard mes parents sont rentrés, ma mère m’a trouvée fatiguée et a dit que les vacances me feraient du bien. OUF !

Si j’ai évité la honte avec mes parents, c’est quand même grâce à mon frère que j’ai découvert le plaisir des pinces à linge sur les tétons. Il ne m’a jamais reparlé de ce qu’il avait vu.

QUELQUES LIENS

Nous vous invitons vivement à lire cet article bien renseigné Conseils sur les dangers du selfbondage sur ce qu'il ne faut pas faire et les risques que cela peut représenter pour votre santé ou même votre vie.

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